Os sentidos do feminino na obra de Colette: escrita literária e autoficção em A Vagabunda

Abstract

La société française des XIXe et XXe siècles a été marquée par la montée des femmes dans la littérature et aussi dans d’autres domaines du savoir. Pendant cette période, des femmes de différentes parties du monde, comme nous l’apporte Michelle Perrot, dans Mon histoire des femmes (2006), ont soulevé des mouvements de lutte pour l’égalité des droits. À l’époque, elles elles se sont rendues compte que l’une des principales formes de domination qu’elles subissaient était de ne pas avoir droit à l’éducation, quelle que soit la classe sociale dans laquelle elles se trouvaient. Par conséquent, une façon de "exister" serait par l’écriture, qui était aussi destinée, surtout, aux hommes. Ainsi, plusieurs femmes ont commencé à publier des livres, à l’exemple de Colette. Sa vie et ses oeuvres ont été influencées par son premier mari, Willy, qui a profité de l’écriture de sa femme pour publier des livres en son nom, jusqu’à leur séparation. Grâce à ses écrits, Colette a fourni au public l’histoire de sa puberté, de son mariage comme on peut le rencontrer dans la série Claudine à l’école, Claudine à Paris, Claudine en ménage et Claudine s’en va. Dans cette recherche, nous explorons le roman La Vagabonde. Nous proposons d’analyser les aspects des personnages féminins de l’oeuvre et aussi l’autofiction dans l’oeuvre de Colette. En outre, nous présentons l’analyse de La Vagabonde, roman doté d’éléments autofictionnels, qui se trouvent dans les relations limitrophes entre la vie de Colette et le personnage de Renée.