Surrealismo em Rastros do verão, de João Gilberto Noll

Abstract

Ce texte analyse lês aspects surréalistes du livre Rastros do verão, de João Gilberto Noll, qui utilize lês technique ssurréalistes pour interpréter le monde post-moderne. L’auteur utilize également La discontinuité de narration afin de superposer Le rêve à La réalité. Le personnage narrateur est assailli de sentiments de profond mal-être qui est révélé par sesactions instables et déséquilibrées. Il illustre La fragmentation post- moderne de l’individu, mise em évidence par l’utilisation de Noll de personnages non- identifiés (unhomme, ungarçon, une femme, une fille, unpère) qui crée une narration avec un ‘moi’ minimal infiltrée par dês sensations de perte de référence et de pertedusoi; ces sentiment son Tetê identifiés comme ‘crise d’identité’ par Hall (2006); une identité non intégrée mais déconnectée, fragmentée et multiple. Cette analyse pour suit la même théorie qu’André Breton (2001), Maria João Simões (2006), Walter Benjamin (1994), Gerárd Durozoi et Bernard Lecherbonnier (1972), Antonio Candido (2001), J. Guinsburg et Sheila Leiner (2008) et Jacqueline Chénieux-Gendron (1992) sur la représentation théorique dês rêves et lês trait ssurréalistes de La narration. Le caractere hybride et fluide de La narration de João Gilberto Noll se reflete dans La théorie de Zygmunt Bauman; La discontinuité de narration entre Le rêve et La réalité est représentée dans lês theories d’André Breton dans Les vases communicants (1955).

This work aims to analyze the surrealistic traits in João Gilberto Noll’s Rastros do verão, which uses surrealistic techniques to read the postmodern world. The writer also uses the technique of the narrative discontinuity to juxtapose reality and dream. The narrator-character is filled by a feeling of deep annoyance for himself, revealed by misfitted, unbalanced actions. He represents the fragmenting of the postmodern individual, shown by Noll when he uses unnamed characters (the man, the boy, the woman, the girl, the father) to create a narrative of the “minimum I”, filled by a postmodern feeling of loss and direction and the loss of a “sense of the self” named by Hall (2006) as “identity crisis”, understanding identity not as unified, but decentered and dislocated, fragmented, and multiple. This work has the theoretical support of André Breton (2001), Maria João Simões (2006), Walter Benjamin (1994), Gerárd Durozoi and Bernard Lecherbonnier (1972), Antonio Candido (2001), J. Guinsburg and Sheila Leiner (2008) and Jacqueline Chénieux-Gendron (1992), aiming to reflect about the literary representation of dreams and the surrealistic traits present in the work in focus. To reflect on the hybrid, fluid and liquid aspect of João Gilberto Noll’s narrative we use Zygmunt Bauman’s theory and, to present the narrative discontinuity (dream and reality), the theories of Breton in Les vases communicants (1955).